Enchanter la vulgaire réalité

Enchanter la vulgaire réalité

Séditieux dans leurs revendications, souvent justes dans leurs dénonciations, parfois vandales dans leurs exécutions, les  tags, graffs, pochoirs font partie intégrante du paysage urbain. Entre nécessité de dire, d’exister, de saborder ou d’embellir, l’art urbain, le street art, est aussi protéiforme que les contradictions dont il se nourrit. Mais dit-il encore la même chose, quand notoriété de l’artiste acquise, ses graffs ou pochoirs substituent aux murs à ciel ouvert les cimaises confinées d’une galerie?

"Même pas mal" © www.philippepataudcélérier.com
« Même pas mal », 14 novembre 2015 © www.philippepataudcélérier.com

Même pas mal ». L’affiche reproduit le célèbre baiser des amoureux de l’hôtel de ville photographié par Doisneau dans les années 50. Sauf que deux taches rouge sang poissent désormais l’image iconique de cette jeunesse insouciante et heureuse. Depuis les attentats du 13 novembre 2015, graffitis, pochoirs, collages, céramiques, photographies, ont envahi les alentours du Bataclan dans le onzième arrondissement de Paris. Façades, Abrisbus, panneaux de signalisation, aucun espace n’est oublié. Lettres blanches sur fond noir, la devise historique de Paris, Fluctuat Nec Mergitur, a  été bombée par un collectif de graffeurs parisiens sur une palissade de chantier (1). Une fois de plus les murs ont porté ces voix qu’on n’entend plus. Une constante en milieu urbain à proportion des violences qui censurent et que les moyens d’expression défient. Si les queues de morue imbibées de peinture pour recouvrir inscriptions et dessins séditieux ont disparu avec la troisième République, les graffiti demeurent ; annexant à coups de souris électroniques et de smartphones jusqu’aux murs virtuels des réseaux sociaux gavés d’images numériques.

Exprime toi, impact de balles, Bataclan, 2015 © www.philippepataudcélérier.com

Mais ce que sont ces graffiti, moins ce qu’ils disent, est généralement mal vu ; en raison de leurs moyens d’expression qui passent le plus souvent par l’appropriation illégale de l’espace urbain : bâtiments publics ou privés, monuments officiels, œuvres d’art, érigés avec pompe et faste, estampillés au fronton de lettres rondes et pleines à la gloire des puissants. Bien loin de ces graffiti éphémères, aux déliés souffreteux, qui révèlent en creux, avec cette résignation d’épitaphe, les signes insignes des dominés sur les pierres de la capitale. On le voit, cette pulsion scripturaire, griffonne l’image de cette cohésion urbaine que ses représentants promettent à ses habitants. Et bien fou serait celui qui relèverait dans ces inscriptions sauvages, des idées transformées parfois en image, une amorce d’intérêt, esthétique de surcroît. En ce début du 20e siècle la beauté est encore un enjeu moral qui ne peut s’épanouir, seule, dans la rue, hors de ces murs institutionnels, les musées, qui cadrent et encadrent ce qui a été validé par quelques uns pour être vu d’un plus grand nombre. Le musée prescrit, proscrit. L’œil suit, sans autre ressort que l’éducation acquise pour savoir, voir et faire voir.

Fred le Chevalier, 75020 Paris © www.philippepataudcélérier.com
Fred le Chevalier, 75020 Paris © www.philippepataudcélérier.com

Il faut le regard poétique du photographe Brassaï et l’imaginaire surréaliste de la revue Le Minotaure pour que les graffitis urbains fassent l’objet d’un premier intérêt. Une dizaine de photographies de graffitis parisiens sont ainsi publiées en 1933. Mais quelques décennies supplémentaires devront s’écouler pour que l’art de la rue soit enfin observé comme un mode d’expression artistique à part entière; en filiation directe avec ces grands pouvoirs d’énonciation qu’ont été le dadaïsme, l’art brut, le situationnisme (Guy Debord), Fluxus, l’affichisme (Jacques Villeglé, Raymond Hains) ou encore le Pop Art, l’abstraction lyrique, Jean-Michel Basquiat, Keith Harring et Jackson Pollock pour les influences outre-Atlantique. Ces arts de rue qui se mettent à côtoyer l’art dans la rue se développent à mesure que ses procédés techniques (pochoirs, bombes aérosol…)  collent aux nouveaux défis du monde urbain. Si « les murs prennent la parole » – l’un des slogans portés dans et par la rue – en mai 1968 c’est parce que l’invention en matière d’impression (sérigraphies, affiches, collages, etc) est à la hauteur des revendications d’expression.

L'art est né sur les murs, 2016 © www.philippepataudcélérier.com
L’art est né sur les murs, 2016 © www.philippepataudcélérier.com

La rue, espace politique, est un formidable support, accessible à chacun et visible de tous à toutes heures. Mais si les graffiti ont besoin de support, ils ont surtout besoin de rapports en dehors de ces contenants (musées) qui font préjuger du contenu.« Représenter n’est pas suffisant. Il faut rendre présent. (…) Faire œuvre des situations et non des œuvres en situation » répète Ernest Pignon-Ernest, artiste plasticien, initiateur avec Gérard Zlotykamien de l’art urbain. Dès 1971 il collait, grandeur nature, sur le sol parisien, à des centaines d’exemplaires, les images sérigraphiées des suppliciés de la Commune. Là où un siècle plus tôt leur « sang avait littéralement ruisselé des rues de Montmartre » écrit André Velter (2). Le risque pris de s’exposer si publiquement exposait aussi les passants qui, en avançant un pied devant l’autre, cessaient d’être de simples spectateurs et se retrouvaient, sur l’exact parcours de leurs habitudes, en terrain artistiquement inconnu, en terrain politiquement découvert ».

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Inspiré d’Édouard Manet (1832-1883) Le balcon, 1868-1869 –  Rue du Transvaal 75020, Nadège Dauvergne, 2015 © www.philippepataudcélérier.com

L’art entrait avec effraction dans la vie quotidienne. Pour une fois il ne venait pas d’en haut mais d’en bas. Quelques décennies ans plus tard, le Street art, l’art de rue, hors les murs, à ciel ouvert, ou « l’art à même la ville parce que les œuvres adhèrent au corps de la ville comme des vêtements portés à même la peau » est omniprésent (3). La difficulté à le nommer reflète la diversité de ses modes d’existence; tant par les matériaux employés, les formes et manifestations artistiques déployées que par ses finalités recherchées: du tag narcissique au pochoir subversif jusqu’au graffiti artistique revendiqué par l’artiste, ignoré voir méprisé par l’amateur d’art, habitué à voir le beau seulement là où on lui a dit qu’il se manifestait : musées, salons … Dans les années 1980 le passant est littéralement face au mur confronté à ce mode d’expression intrusif, dégradant, illégal qui se répand : le tag, la forme la plus élémentaire du graffiti. Ironie de l’histoire c’est le petit-fils du fondateur de l’une des premières banques d’investissement américaine Lehman Brothers, Philippe Lehman alias Bando, qui importait en France ces signature frustes et sommaires tagués sur les murs, les métros, les trains new-yorkais, par de jeunes urbains défavorisés.

Train, esplanade T. G. Bibliothèque de France; 2011 © www.philippepataudcélérier.com
Train, esplanade  T. G. Bibliothèque de France; 2011 © www.philippepataudcélérier.com

Figure masquée comme Zorro, ils taguent leur nom à la pointe de leur Posca (marqueur à embouts en mousse). Une signature bien visible mais illisible, anonyme sauf des initiés, qu’ils veulent rendre ubiquiste à la mesure de leur inexistence sociale. « Inventer une nouvelle manière de se distinguer, c’était une révolte, le refus de l’autorité, le règne des marginaux, une jeunesse minoritaire défavorisée prenait sa vie en main et créait quelques chose alors que la société ne leur avait rien donné » précise Henry Chalfant, « photograffeur », documentariste et critique américain » (4). « J’ai décidé de cracher ma haine comme un spray (…) Afin de couvrir toutes mes plaies (…) Je voudrais pas qu’on m’oublie (… ) Je marquerai ma place tant pis. Comme un graffiti » écrit plus tard Rocca (Elevacion, 2001), l’un des pionniers du rap français.

Marseille, 2015 © www.philippepataudcélérier.com
Marseille, 2015 © www.philippepataudcélérier.com

Le tag envahit le centre de la capitale. Quel sens de s’exposer si l’on n’est pas exposé ? Les quais de Seine, les palissades de Beaubourg ou du Louvre alors en chantier sont des lieux très prisés. Dans ce contexte d’urbanisation accélérée qui suit les Trente Glorieuses (1950-1980), les friches sont nombreuses. Mais rares sont celles à offrir une belle visibilité et une relative longévité face aux services de la voirie ou aux actions des promoteurs immobiliers. Visibles du métro aérien de la très fréquentée ligne 2 le terrain vague de Stalingrad, au nord-est de Paris, concentre ces atouts. Une aubaine exploitée par les graffeurs pendant une dizaine d’année (1982-1993) qui leur permet de comparer, d’affiner leur style au fil des « battles » défis artistiques, en solo ou par équipe (crew).

Parmi les graffeurs Ash, Skki, Boxer, JonOne, artiste New-Yorkais jouissant d’une grande notoriété. Le graffiti se complexifie. L’originalité est gage de reconnaissance. Aux lettres simples, précises et lisibles personnifiées par Bando (style Old school) répond le wildstyle, graffiti stylisé par une composition tellement complexe qu’elle prend le pas sur sa lisibilité (5). Stalingrad devient « le berceau du graffiti européen bien avant le mur de Berlin pourtant primordial jusqu’à sa chute en 1989 » précise Magda Danysz, galeriste précurseure (6).

Graff, détail et matière © www.philippataudcélérier.com
Graff, détail et matière © www.philippataudcélérier.com

Le « graff » se popularise. Son univers accompagne les clips vidéo des groupes de hip-hop et de rap diffusés à la télévision parachevant une culture urbaine prise dans toutes ses dimensions : musicale, visuelle, corporelle (smurf, break danse). « Paris sous les bombes » titre en 1995 le nouvel album du groupe de rap français Suprême NTM. Car la geste artistique du graff relève bien souvent du fait social total au sens où les individus définissent eux mêmes leur pratique ; singulière dans ses moyens (conseillé de voler sa bombe, taguer dans un lieu interdit) comme dans sa mise en œuvre (périlleuse quand on graffe une rame de métro à deux pas d’un rail d’alimentation de 750 volts) et ses résultats : inédits, innovants (styles, techniques, matériaux, surface). En un mot : spectaculaires.

On apprend plus © www.philippepataudcélérier.com
On apprend plus dans une nuit blanche…. © www.philippepataudcélérier.com

À l’image de cette opération qui en 1991 recouvre de tags et de « graffs » la prestigieuse station de métro du Louvre Rivoli. Un choc pour l’opinion publique prise à témoin en sa qualité de contribuable auquel la SNCF répond en assignant en justice les magazines spécialisés (Graff It !, Graff Bombz et Mix Grill) ainsi qu’un fabricant de bombes de peinture pour incitation au vandalisme. En ces années 90, le graff n’a plus sa place dans le paysage urbain. Tolérance zéro affichent les pouvoirs publics suivant la méthode prise avec succès quelques années auparavant par le maire de New-York. Mais face à un code pénal qui alourdit sévèrement les sanctions (7), certains artistes revoient leurs pratiques.

Banksy contre Nike ? Paris © ppc

Pour les graffeurs « vandales » adeptes des tags destructeurs – pérennes rectifient-ils en parlant des tags à l’acide – l’escalade répressive est l’assurance de nouveau flux d’adrénaline. Pour d’autres, lassés des courses-poursuites nocturnes, des « ego trips », des graff marqués à la sauvette (mêmes si les carnets de croquis – blackbooks – témoignent de semaines préparatoires), c’est l’occasion de se tourner vers les murs légaux et prendre le temps d’une réalisation plus construite ; plus consensuelle aussi sous l’égide de commanditaires propriétaires qui privilégient bien souvent le figuratif sur les grandes pièces abstraites du graffiti.

Shepard Fairey, 75013 © www.philippepataudcérier.com
Shepard Fairey, 75013 © www.philippepataudcérier.com

Entre subversion et soumission s’immisce une voie médiane non autorisée mais tolérée, laissée à la discrétion des acteurs publics ou privés, en raison du caractère précaire, non dégradant de ses modes d’affichage et de ses contenus formels (personnages) plus attractifs. Parmi ces techniques, le collage – d’œuvres en papier, de mosaïques, comme celle d’Invader) ou le pochoir (selon l’agressivité des encres).

Nemo, Mosko, peintre pochoiriste, Villa faucheur, 75020, 2008 © www.philippepataudcélérier.com

Si ces modes d’affichage existent depuis les années 1980 grâce à ces grands pochoiristes que sont Blek le Rat (inspirateur du célèbre artiste anglais Bansky), Jef Aerosol, Miss Tic, Nemo, Mosko, Jérome Mesnager, ils se banalisent ensuite (C215, Space Invader…) pour se populariser mondialement avec les générations qui suivent (comme le très médiatique JR). Plus engagées socialement elles sont à l’écoute du monde, de la société civile, de ses attentes et frustrations à la hauteur du vide politique, auxquelles elles vont donner écho en prenant appui sur les dernières innovations technologiques. « Street art, screen art !»

Philippe Hérard, 2006, 75020, Paris © www.philippepataudcélérier.com

Transformées en images électroniques, ces œuvres éphémères ont la puissance ubiquiste des réseaux sociaux planétaires : Facebook, Snapschot, Instagram (JR compte 800 000 abonnés). Mais si la visibilité et la notoriété qui l’accompagne s’élaborent sur les réseaux sociaux, la légitimité de l’artiste se fait à partir de la rue dans sa confrontation au réel. « Une relation qui s’achève souvent par la gentrification des quartiers » déplore Kashink, l’une des rares artistes de rue féminines, arborant une fine moustache postiche quasi conjuratoire dans un domaine d’intervention traditionnellement masculin. « La création attire. Mais transformer un mur en fresque avec la participation de ses habitants c’est donner une nouvelle image du quartier propice aux rénovations urbaines et à la spéculation. »

Place des Rigoles, Jérôme Mesnager, 2009 © www.philippepataudcélérier.com

Car pochoirs et fresques se substituent souvent aux graffitis et tags, synonymes pour beaucoup d’un sentiment d’insécurité. Les fresques ne peuvent que se multiplier sur les murs pignon. « Une imagerie servile faite par des poseurs d’affiche qui font le mur sans le faire » dénoncent de nombreux graffeurs. Aux antipodes de l’acte libertaire et libérateur qui est au fondement même du graffiti, et « dont l’esprit frondeur » pensent-ils, ne peut que se renforcer face à une urbanisation croissante qui se densifie et déshumanise ; saturé de signes pensés surtout pour faire « dé-penser » (annonces publicitaires), sécuriser (panneaux de signalisation, caméras), rentabiliser le rapport de l’habitant avec son espace. Une pression ressentie par beaucoup comme une situation d’enfermement. De celle qui pousse un condamné à graffiter les murs de sa cellule.

« Enchanter la vulgaire réalité » clamait Apollinaire. Expression que pourraient endosser de nombreux artistes de rue comme Cap Phi, Gris1, Kashing. Clet et Ox détournent panneaux de signalisation et messages publicitaires ; Fred le Chevalier « panse les murs parisiens avec des affiches de personnages particulièrement bienveillants depuis le 13 novembre » ; Zevs liquide littéralement les logo des grandes marques en les recouvrant de peintures dégoulinantes quand Kidult dénonce à coups d’extincteur métamorphosé en bombe aérosol la récupération de l’art de rue par ceux qui « sans venir de la rue » ont pignon sur rue.

Odalisque à l'iguane © Jean-Baptiste Colin, Rue des Cascades, Galerue, 13 novembre 2016.
Odalisque à l’iguane © Jean-Baptiste Colin, Rue des Cascades, Galerue, 13 novembre 2016.

Le Street art est devenu un marché. « D’une centaine de millions d’euros annuels en France estime Nicolas Laugero-Lasserre, collectionneur engagé, propriétaire d’ArtistiK Rezo, galerie à but non lucratif et directeur de l’école des métiers de la culture et du commerce de l’art (ICART) où le premier Master of Business Administration portant sur le Street art devrait ouvrir ses portes en 2016 (8). Le marché compte une soixantaine de galeries, une dizaine de maisons de vente, des côtes d’artistes qui oscillent entre quelques milliers et plusieurs dizaines de milliers d’euros pour JonOne ou JR. Le tout agité par des événements de plus en plus médiatiques comme le retentissant projet de la Tour 13 (9). Sans oublier des acteurs publics et privés toujours plus nombreux à promouvoir l’art urbain ou l’idée que chacun s’en fait. Dernier en date, le Ministère de la Culture et de la Communication qui invitait en juin 2015 une quinzaine d’artistes à graffiter sur ses murs (10) sans autre cause que son patronage officiel fait dans l’ignorance de ses riverains mais amusée des passants, quelques artistes étant masqués pour cette subversion subventionnée.

Clet, 75020 © www.philippepataudcélérier.com
Clet, 2015, rue des fêtes, 75020 © www.philippepataudcélérier.com

Beaucoup d’œuvres urbaines n’ont guère de sens en dehors de leur contexte. « C’est aussi vrai pour une galerie qui doit souvent dissuader un artiste d’abandonner la fresque pour la cimaise ; peu réussissent » rappelle Magda Danysz.Délicat en effet de coller l’imaginaire d’une fresque aux attentes d’un marché, d’asservir un « graff » aux mesures d’une toile, de remplacer le contexte d’une rue par le texte d’un cartel épinglé dans un lieu clos pour ne pas dire maison close et donner raison à Degas : « le cadre est le maquereau de la peinture »; ou du moins le signe de de son achèvement. Tout le contraire d’une œuvre de rue tirée par cet instinct d’herbe folle qui vit avec ce qu’elle habite et ce qui l’habite. Visible  jusque dans son effacement.

 Texte et photographies © Philippe Pataud Célérier

Le Monde Diplomatique, septembre 2016.

Notes :

  • (1) « Battu par les flots, mais ne sombre pas ». 
  • (2) Ernest Pignon Ernest, André Velter, Gallimard, 2014.
  • (3) L’art à même la ville, Marie Escorne, Presses Universitaires de bordeaux, Collection Artes, 2015.
  • (4) Spraycan Art, de Henry Chalfant et James Prigoff (édition Paperback, 1987). New York graffiti, Subway Art, de Martha Cooper et Henry Chalfant Holt, 1984.
  • (5) Blackbook, Les mains dans l’alphabet, Darco, Editions Alternatives, 2013.
  • (6) Anthologie du street art, Magda Danysz, Editions Alternatives 2015. www.magda-gallery.com Voir aussi : Writers – 1983-2003, de Marc-Aurèle Vecchione, DVD (Edition 2good, 2004).
  • (7) « La destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger » ; puni de 3 750 euros d’amende et d’une peine de travail d’intérêt général.
  • (8) www.artistikrezo.com – www.icart.fr (9) www.tourparis13.fr (10) Oxymore.

Editions internationales  : cliquer sur le lien :

édition anglais, octobre 2016.

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